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Charles BERNARD
Cabinet d'ostéopathie

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L'ostéopathie

Ici vous allez découvrir ma vision de l’ostéopathie.

 

Le but de cette page est de vous donner, en parcourant les diverses rubriques, un nouveau regard sur cet art thérapeutique.

 

 

En guise d’introduction…

 

Le père de l’ostéopathie est Andrew Taylor STILL (1828 – 1917). Il développa une philosophie et une thérapie allant de pair et donna à ce concept le nom d’ostéopathie, et ce le 22 juin 1874.

 

Cependant, A.T. STILL disait : « donnez-moi l’âge de Dieu et je vous dirai l’âge de l’ostéopathie ».

 

Vous pouvez découvrir son histoire en détail au travers de son autobiographie : Andrew Taylor Still - le fondateur de l’ostéopathie.

 

 

 

LES PRINCIPES MAJEURS DE L’OSTÉOPATHIE.

 

L’ostéopathie est un art thérapeutique manuel qui utilise différentes techniques. Plusieurs approches sont possibles (voir plus bas la rubrique : LA CONSULTATION ET LES TECHNIQUES si vous désirez en savoir plus).

 

L’art thérapeutique manuel existe depuis des millénaires. L’ostéopathe est donc un thérapeute manuel. L’inverse (un thérapeute manuel est un ostéopathe) est faux.

En effet, l’ostéopathie contient des principes de grande valeur, une philosophie spécifique qui est celle du Docteur Andrew Taylor STILL.

 

Abordons certains de ces principes.

 

◊ Commençons par celui qui se révèle d’une importance capitale afin d’obtenir une thérapeutique optimale : « chercher/remonter à la dysfonction primaire » que l’on peut traduire ainsi : «  remonter à la source du problème ».

 

Détaillons ce principe : l’ostéopathe est à la recherche de la réelle altération, de la dysfonction primaire (autrement dit de la ou des causes) qui engendrent le motif de consultation. Ce principe devrait être commun à tous les thérapeutes.

 

La source du problème peut se localiser au niveau d’un système (système sanguin, urinaire…) autre que celui où le patient ressent la gêne, et être unique ou non.

 

Prenons un exemple:

 

Une personne consulte pour des lombalgies chroniques. Les différents traitements qu’il a pu recevoir ne l’ont pas soulagé. C’est pourquoi il se décide à venir me voir. Lors de la séance, le diagnostic ostéopathique indique la source problème : une entorse de cheville lors d’une randonnée.

 

L’entorse de la cheville a engendré sur celle-ci un déséquilibre qui persiste et entraîne la lombalgie ! (bien entendu, toutes les entorses n’engendrent pas obligatoirement une lombalgie).

 

 

 

◊ Cela nous amène, tout naturellement, à dévoiler le principe suivant :« le corps est un et indivisible ».

 

Pour mes études, et dans notre société occidentale, on a sectorisé le corps. Cette sectorisation a ses bénéfices et ses inconvénients.

Gardons à l’esprit que le corps est un tout : tous ses systèmes agissent de concert pour régir l’activité globale de notre corps.

 

Démonstrations :

 

Lorsque nous inspirons, l’air passe par les voies aériennes supérieures. Il se rend aux alvéoles pulmonaires où l’oxygène se retrouve au niveau de la circulation sanguine. L’oxygène est transporté par les globules rouges. Le sang circule grâce à la pompe cardiaque. Ceci permet à l’oxygène d’être distribué à tous les systèmes. Nous venons, avec cette rapide description, d’établir une connexion entre les systèmes suivants : O.R.L., pulmonaire, cardiaque, hématologique. Mais d’autres systèmes sont aussi concernés : rénal, cérébral, musculo-squelettique…).

 

Une mauvaise alimentation pourra, et favorisera, l’apparition de troubles dont la répercussion pourra se faire au niveau dermato, rhumato. L’altération dermatologique peut être la conséquence de la mauvaise alimentation qui endosse le rôle de l’agent causal. On ouvre la porte des émonctoires (les émonctoires sont des systèmes d’évacuation du corps, non abordés ici).

 

Le corps est une unité. Agir sur une sphère spécifique engendre des ajustements sur les autres sphères. Le concept de tenségrité s’applique au corps humain : une action, une énergie transmise à une région quelconque du corps est reçue par celle-ci, et se répercute également aux régions voisines.

 

Pour imager ce principe, abordons un point d’anatomie : le fascia.

 

Il enveloppe, s’insinue entre les fibres musculaires et les sépare. Il s'insère au niveau des os, tapisse les organes, les viscères. Il est présent à tous les niveaux du corps, en lien avec les nerfs, les vaisseaux. Il forme une unité, toujours en continuité, en relation avec son voisin.

Le fascia est d’une importance capitale. Les recherches le démontrent de plus en plus et de mieux en mieux.

 

Selon le Docteur A.T. STILL, le fascia est le lieu où se développe la maladie.

Par cette continuité on comprend, on visualise mieux les relations que peuvent avoir les différentes régions corporelles entre elles.

 

◊ On en vient naturellement au principe suivant : « le corps a la capacité d’auto-guérison ».

 

Avant d’en dire davantage, précisons un point : le corps est parfois dépassé, et, de ce fait, il faut lui venir en aide. C’est notre rôle à nous, les professionnels de santé. Toute prescription, tout traitement a pour but de vous aider, il est donc fortement recommandé de les suivre.

 

Le corps a la capacité d’auto guérison.

 

Prenons comme exemple la courte histoire qui suit :

 

Miss LaGaffette, en prenant une feuille de papier, se coupe légèrement. Juste une petite entaille mais qui « pique » beaucoup, (cela doit rappeler des souvenirs à certains…). L’entaille a touché un fin capillaire sanguin alors un soupçon de sang apparaît. Quelques minutes plus tard, le doigt a fini de saigner. Nous quittons Miss LaGaffette ici.

 

Avec cette histoire, on prouve la capacité d’auto guérison du corps. OUI, je l’affirme et vous explique pourquoi : pour que le capillaire arrête de saigner il a fallu tout un processus. Le corps a mis en place tout un système pour stopper cette hémorragie. À savoir la détection de la plaie, la mise en place d’une cascade de réactions physiologiques. Tout ceci sans que notre miss LaGaffette en ait conscience, sans prendre de substance spécifique. Le corps a tout fait lui-même.

 

En revanche, le bûcheron qui confondra son pied et son morceau de bois aura besoin d’aide extérieure !!!

 

Lors d’une fracture, c’est le corps qui « ressoude » les deux extrémités. Le chirurgien réajuste l’alignement de l’os pour une consolidation optimale. En phytothérapie, nous y reviendrons plus tard, on peut aussi aider cette consolidation. Mais au final, c’est le corps qui consolide la fracture, nous venons juste lui permettre de bien le faire.

 

Une inflammation est aussi une réaction du corps qui a pour but de nous guérir. Parfois elle devient chronique, ceci est autre.

 

Le système immunitaire vient combattre, phagocyter (manger/digérer) les agents pathogènes lorsque cela est nécessaire. Il garde même en mémoire certains de ces agents pour pouvoir les combattre plus facilement par la suite. (immunité innée et immunité acquise).

 

◊ Avant de parler du rôle de l’ostéopathe, il est nécessaire d’évoquer une branche de cette auto-guérison du corps qui est également à inclure parmi les principes suscités et que je nomme « l’adaptation ».

 

Le corps s’adapte, c’est-à-dire qu’il va se réajuster (suite à un traumatisme, un choc) pour qu'il puisse rester efficace. L’adaptation permet une continuité dans l’efficacité du corps qui a cependant ses limites. Lorsque celles-ci sont atteintes, des douleurs, des gênes apparaissent et nécessitent alors la consultation d’ostéopathie.

 

Prenons un exemple :

 

Monsieur T a eu une fracture du calcanéum (talon) gauche. Il peut seulement poser le pied droit par terre. Alors tout le poids du corps est supporté par le membre droit. L’ensemble musculo-articulaire du côté droit est donc doublement sollicité alors que celui du côté gauche est mis aux oubliettes ! L’iliaque (os latéral du bassin) droit va se retroverser (rouler en arrière). À gauche, ce sera l’inverse : l’iliaque s'antéverse. Ce schéma, ce réajustement est une adaptation de la fracture. Ceci demeure pendant plusieurs mois. Monsieur T arrivera à remarcher sans gêne apparente. Le bassin s’est adapté et les lombaires ont suivi le mouvement.

 

Le temps passe, monsieur T va bien. Puis un jour au sport il subit un coup sur l’épaule : un choc fort, intense qui le surprend. Le lendemain la douleur est présente, il l’atténue en amenant son épaule dans une certaine position (à la fois en haut et en arrière). Au début il se force à adopter cette position antalgique puis cela devient naturel, involontaire, inconscient. Pour ce faire, le système musculo-ligamentaire s’est ajusté, comme précédemment, lors de la fracture. Le corps s’adapte. Des muscles se spasment, d’autres sont étirés (par rapport à leur position de repos physiologique). Cela entraîne des pertes de mobilité à plusieurs niveaux (costo-vertébral, intervertébral…).

 

Puis une zone compensant déjà les ajustements causés par la fracture du talon est sollicitée pour s’adapter au choc subi à l’épaule, mais elle est dans l’incapacité de compenser les deux traumatismes.

 

Il y a une perte de compensation : la douleur apparaît, la consultation aussi.

 

Maintenant que nous venons d’éclairer la faculté d’adaptation du corps, on va parler du rôle de l’ostéopathe.

 

Pour que le corps puisse effectuer au mieux son action de guérison, il lui faut être en pleine forme.

 

Le corps est en constante adaptation, il compense toujours un traumatisme, une agression extérieure… Le but de l’ostéopathe est de traiter les adaptations présentes, de donner au corps la mobilité idéale afin qu'il puisse s’adapter au mieux par la suite.

Alors l’ostéopathe va libérer certaines zones pour rendre au corps la mobilité adéquate. Le thérapeute agira donc sur des régions du corps afin de lui donner, de lui rendre, les capacités de guérison et d’auto-guérison optimales.

Et pour ce faire, il investiguera tout le corps. Et c’est là aussi un atout de l’ostéopathe qui connaît l’importance des relations entre les différentes parties du corps qui sont interdépendantes. Voilà pourquoi, pour un problème de genou, l’ostéopathe pourra poser les mains sur les chevilles, le bassin…

 

Pour résumer, l’ostéopathe doit s’efforcer de trouver la cause primaire et d’agir dessus, de redonner au corps une mobilité adéquate pour lui permettre de répondre au mieux lorsque cela sera nécessaire.

 

Une des causes influant sur de nombreuses pathologies, entravant ou favorisant le succès du bon rétablissement est l’alimentation.

 

En tant qu’ostéopathe je reconnais la nécessité d’agir sur la cause primaire. C’est pourquoi j’interviens également sur l’alimentation. J’approuve les dires d’Hippocrate (-400 av J-C) : « Que ta nourriture soit ta première médecine ».

 

Ce que l’on mange nourrit notre corps. Le système digestif établit un lien direct avec tous les autres systèmes. Il trouve donc naturellement sa place parmi les trois principes évoqués ci-dessus. Pour rappel : « la recherche de la cause primaire », « le corps est un et indivisible », « le corps a la capacité d’auto-guérison »).

 

Ce que l’on mange peut agir efficacement sur le chemin de la guérison et du mieux-être global. Autant en profiter !

Or l'inverse est tout aussi vrai.

 

Un exemple pour prendre conscience du problème :

 

Alors que j’exerçais à Paris, un midi je vais acheter de quoi déjeuner. Sensible et averti, je regarde l’étiquette d’un produit aux amandes qui semble « sain ». Après une lecture, puis une relecture des ingrédients, j’ai dû me faire à l’idée que le produit aux amandes ne contenait pas d’amandes, uniquement des produits transformés par l’industrie ! Bien sûr, je n’ai pas acheté ce produit.

 

Je me répète : ce que l’on mange va nourrir, impacter notre corps.

 

De manière brutale tels des champignons toxiques ou de manière silencieuse telles les intolérances, notre conduite nutritionnelle va se répercuter sur l’ensemble de notre être.

Appliquée à la physiologie, la nutrition s’appelle la physio-nutrition, ceci fait partie intégrante de ma thérapeutique.

Chaque personne étant unique, chaque personne doit avoir une alimentation qui lui est propre.

 

Il existe une branche de la nutrition qui est en accord avec la philosophie de l’ostéopathie, il s’agit de la phytothérapie (les plantes). Pour favoriser la guérison, le bon rétablissement, la phytothérapie est également un allié de choix.

 

Nombre de médicaments s’inspirent de la nature (aspirine du saule blanc, la morphine du pavot…).

 

Parfois la thérapie manuelle que l’ostéopathe pratique peut être améliorée par la nutrition et par conséquent par la phytothérapie.

 

Un exemple :

 

Madame S est toujours debout pour son travail. Elle porte de faibles charges tout au long de la journée. Elle a mal au dos.

 

Les muscles du dos, les vertèbres sont sur-sollicités (8 h de travail/jour, avec le temps, les faibles charges deviennent conséquentes).

 

La cause de sa souffrance vient de son travail, emploi qu’elle ne peut pas se permettre de quitter. La séance d’ostéopathie associée, au niveau phytothérapie, à une prise de curcuma en traitement de fond fut bénéfique.

 

Le curcuma est une plante vivace, herbacée possédant de nombreux rhizomes (comme le gingembre) qui possèdent des propriétés anti-oxydantes et anti-inflammatoires naturelles.

 

Madame S m’a indiqué que cet arsenal thérapeutique a été efficace et reconnaît les bienfaits du curcuma quand elle travaille intensément.

 

Ici nous avons agi sur la cause principale et avons permis au corps d’avoir une efficacité accrue.

 

 

LA CONSULTATION ET LES TECHNIQUES

 

LA CONSULTATION EN TROIS ÉTAPES

 

 

En pratique qu’est-ce que cela donne ?

 

◊ La première étape se déroule au bureau pour l’anamnèse. Le thérapeute vous demandera le motif de consultation ainsi que les renseignements nécessaires pour connaître votre parcours de santé, à savoir les fractures, entorses, opérations, allergies…

 

Chaque praticien jugera ce qui lui sera utile. Pour ma part je demande en général ce qui motive la consultation (la gonalgie (douleur du genou), les migraines…). Puis viennent les questions en rapport direct qui sont : où, depuis quand, comment, apparition brutale ou progressive, type de douleur (localisée, diffuse), première fois, quand (matin, midi, soir), signes associés… ? 

(( Il est nécessaire de réaliser un diagnostique différentiel. Urgence ? Pour moi, pas pour moi ? ))

 

◊ Ensuite a lieu la deuxième étape : la séance pratique qui occupe la majeure partie de la consultation. L’ostéopathe va effectuer son diagnostic et agir en conséquence.

 

◊ Troisième et donc dernière étape : le débriefing. Il comprend les conseils à suivre et font partie intégrante de la consultation.

 

Exemple :

 

Monsieur E vient me voir un jeudi. Lors du débriefing, je lui dis « pas de sport demain, ni ce week-end ». Lundi il reprend rendez-vous et me dit : « ça allait bien alors j’ai joué au tennis ce week-end et ça c’est de nouveau bloqué. J’aurais dû vous écouter. »

 

Ce débriefing est un moment d’échange, un moment de questions-réponses s’il y a lieu.

 

LES TECHNIQUES

 

Les techniques ostéopathiques sont nombreuses. Beaucoup d’approches différentes existent. Gardons à l’esprit la philosophie de l’ostéopathie qui veut entre autres rechercher la cause, être naturelle, être manuelle, respecter le corps au maximum, lui donner les moyens de s'auto-guérir.

 

Je vais regrouper en trois grandes parties la multitude de pratiques existantes.

 

◊ Il y a celle qui, dans l’inconscient collectif, « tord », « crac » et peut faire mal.

 

Elle regroupe les techniques HVLA, HVBA, (Haute Vélocité Longue/Basse Amplitude) paramètre mineur… Ce sont les thrusts.

Le thrust bien appliqué, au bon endroit, de manière sûre et approprié engendre bien souvent le bruit du « crac ». Ce n’est pas censé faire mal. La manipulation engendre un réflexe. Certains n’aiment pas cette technique qui est trop brutale pour eux.

 

◊ Il y a ensuite les techniques qui vont mobiliser le corps sans pour autant le faire craquer.

 

Le corps sera, selon les termes employés par les patients, « tordu, tiré, étiré, manipulé ». Il sera sollicité dans des amplitudes que le praticien jugera nécessaire.

Le patient pourra être actif, (dans les thrusts également), c’est-à-dire qu’il lui sera demandé de lever un bras, une jambe, de regarder en bas…

 

On retrouve ici l’énergie musculaire, certaines techniques tissulaires, de la T.O.G. (Technique Ostéopathique Générale), et autres.

◊ Et il y a l’art qui reflète ma pratique.

 

Ce sont les techniques dites douces (qui sont déjà appréciées pour ce caractère). Les thrusts et les mobilisations actives du patient sont évincés.

Il s’agit de la technique du fascia, du tissulaire, et du crânien principalement.

 

Comme indiqué plus haut, le fascia est présent à tous les niveaux du corps. Il s’insinue dans les « moindres recoins ». Les nerfs, les vaisseaux lymphatiques et sanguins y circulent. Il tapisse les muscles, les organes…

 

Répondant au concept de tenségrité, agir sur lui c’est agir sur l’ensemble du corps puisqu’il y est partout présent. (prenez comme image une toile d’araignée : une stimulation à un endroit engendrera une répercussion sur l’ensemble. Pour le fascia, c’est similaire).

 

Afin d’agir sur le fascia, l’ostéopathe pose les mains sur le corps, reçoit, ressent les mouvements du tissu sous-jacent et redonne à celui-ci la qualité de mouvement qui lui est dû.

 

Andrew Taylor STILL, fondateur de l’ostéopathie, voyait déjà dans le fascia le lieu de naissance des pathologies.

 

Le crânien, développé par l’ostéopathe William Garner Sutherland (1873-1954), consiste à ré-harmoniser un mouvement : le Mécanisme Respiratoire Primaire présent à tous les niveaux du corps. Au cabinet il arrive très fréquemment que les patients s’endorment ou s’assoupissent pendant cette approche.

 

Ici le patient n'est pas sollicité activement.

 

Je pratique essentiellement cette dernière partie ainsi que la méthode Niromathe ®
Plus d'information concernant la méthode Niromathe® 
 ici 

 

Évoquons le « viscéral » qui agit sur les viscères, les organes et peut être intégré dans les deux dernières parties.

 

Il existe aussi l’ostéopathie émotionnelle, non détaillée ici.

 

L'ostéopathe peut évidemment piocher parmi ces trois grandes parties lors d’une consultation.

 

Nous avons évoqué ici les pratiques liées directement à l’ostéopathie. D’autres approches peuvent être pratiquées en parallèle. (auriculothérapie, magnétisme, shiatsu…)
Me concernant je pratique l'intégration neuronales via RMTI. Cette approche respecte totalement les principes de l'ostéopathie. Plus d'informations  ici 

L'OSTÉOPATHIE (pour qui, pourquoi et quand ?)

 

Pour qui ?

 

◊  Pour tout le monde : du nouveau-né aux centenaires, aucune limite d’âge

 

◊ Pour les femmes enceintes, les sportifs, les patients sous médication, les personnes ayant des traitements plus ou moins lourds (chimio, cancer, maladies auto-immunes…)

 

Quand consulter ?

 

◊ Quand tout va bien ? Oui, il s’agit alors d’une consultation d’entretien, de « check-up », de routine…Ces consultations vous permettent de continuer, de prolonger votre état de santé, de rester dans le « bien-être ».

 

◊ Quand une douleur, une gêne est présente : il s’agit alors d’une consultation pour guérir, pour retrouver le bien-être perdu.

 

◊ Pour toute urgence il faut appeler les secours.

 

◊ Parfois l'ostéopathe vous réorientera chez le professionnel adéquat.

 

Les motifs de consultation en ostéopathie ?

 

◊ Au système musculo-squelettique, ostéo-articulaire : douleur articulaire, cervicalgies (torticolis, coup du lapin…), dorsalgies, lombalgies, ATM (mâchoire), sacro-iliaque, coxalgies, gonalgies, entorses, contracture/spasme musculaire, douleur musculaire, tendinite, capsulite, hygroma/bursite...

 

◊ Au système nerveux et vasculaire : névralgie de type sciatique, cruralgie, ncb , fascial (arnold) …, , congestions diverses (hémorroïde…)…

 

◊ Au système viscéral : congestion viscérale, dyspepsie, douleur viscérale, reflux gastro oesophagien, troubles digestifs, constipation/diarrhée, ballonnements, nausées, troubles génito-urinaire (dysménorrhées fonctionnelles, dyspareunies mécaniques, dysurie…)…

 

◊ Au système O.R.L. : rhino-pharyngites, sinusites, otites et leurs préventions si elles sont à répétition, bourdonnements, vertiges fonctionnels, dysphonie fonctionnelle, acouphènes…

 

◊ Au système crânien : maux de têtes, migraines, névralgies…

 

◊ Au système psychique : troubles émotionnels…

 

◊ Grossesse pédiatrie : suivi de grossesse, accompagnement du nouveau-né, du bébé et de l’enfant,

plagiocéphalies, torticolis, troubles du sommeil, régurgitation, coliques…

 

 

Un doute ? Une question ? Besoin d'un renseignement ?

 

Appelez- moi ou écrivez-moi, je ne manquerai pas de vous donner toutes les informations désirées.

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